[ Source : Facebook FFMC49 ]

📣 Prendre ses responsabilités, refuser l’inacceptable

C’est un texte puissant, partagé par la FFMC 49, que je relaie ici avec conviction.
Rédigé par un adhérent, il traduit la colère lucide d’un motard face à une mesure injuste, inefficace et imposée : le contrôle technique moto (CT2RM).

« Lorsqu’une personne jette une pierre, on appelle cela une action répréhensible.
Si on jette mille pierres, cela devient une action politique. »

🔥 Le ton est posé. Le propos est clair. Le refus du CT moto, ce n’est pas un caprice individuel.
C’est un acte politique, légitime, fondé sur des décennies de résistance aux mesures absurdes et bureaucratiques.

🛑 Boycotter le CT Moto, un acte militant

« Si je boycotte le CT moto, c’est une action répréhensible.
Si des millions de motards n’emmènent pas leurs motos au CT, c’est une action politique. »

Ce motard le dit sans détour : le CT moto est une ligne rouge.
Et tant que la désobéissance reste non violente et motivée par un refus d’injustice, elle devient une forme d’engagement responsable.

⚙️ L’histoire se répète : loi imposée, résistance organisée

Ce texte le rappelle avec force : depuis 40 ans, les motards refusent d’être les vaches à lait du système.

On nous parle sécurité, mais :

• Aucun chiffre ne prouve l’efficacité du CT pour les 2-3RM

• Aucune régulation des prix n’est prévue

• Aucune prise en compte de la diversité des usages

Le CT moto n’est pas une mesure de sécurité, c’est une contrainte politique.

📬 En tant qu’adhérent FFMC et citoyen engagé...

Je rejoins pleinement cette vision :

• Oui, le boycott est une voie légitime

• Oui, nous devons faire entendre notre colère

• Oui, il est temps d’agir collectivement : dans nos courriers, nos recours, nos réseaux, nos antennes

📢 La FFMC est un mouvement horizontal, où la parole des adhérents construit l’action.

📌 Document source

➞ Voir la publication originale sur Facebook :
🔗 Texte publié par la FFMC 49

💪 En résumé

« Nous sommes responsables de notre histoire et de notre destin. »

Oui. Et nous refusons de subir.
Ce texte mérite d’être lu, partagé, débattu, car il incarne l’âme de la FFMC : liberté, résistance, et solidarité.