• En octobre 2025, le CDR méditerranée (Coordination des antennes FFMC de la région sud-est) se réunira dans les Alpes-de-Haute-Provence, au sein des antennes FFMC 04/05, les 11 et 12 octobre.
• À l’initiative de la FFMC30, il a été demandé à l'antenne organisatrice 04 de mettre l'adhésion de Yoann SIMON à l'ordre du jour.
• Ce choix collectif marque la volonté des antennes méditerranéennes de traiter ce dossier en transparence et en débat, au-delà du seul cadre local. 
• Il traduit une reconnaissance de l’importance du sujet et la nécessité de clarifier la position régionale face à la contradiction entre la FFMC30, qui a validé l’adhésion, et le Bureau National, qui la refuse. Cette mise à l’agenda constitue donc un moment charnière, où la question est portée à un niveau fédératif plus large.

• La carte d’adhérent FFMC 030 confirme l’inscription de Yoann Simon pour l’année 2025, sous le numéro 030-041521-25.
• Bien que la carte ne précise pas le jour exact du règlement, les publications publiques de l’intéressé indiquent que la réadhésion a été effectuée dès que possible en début d’année. On peut donc considérer que l’adhésion est effective au 1er janvier 2025.
• À la suite de questionnements internes, un échange a eu lieu entre Gwen, coordinateur du Bureau National (BN), et Michel, coordinateur de la FFMC 30.
• La question portait sur une éventuelle difficulté liée à l’adhésion de Yoann Simon.
• La réponse du CDR Méditerranée et de l’antenne a été claire : aucune consigne d’exclusion n’a été donnée par le Bureau National.
• En conséquence, Yoann Simon est considéré comme un adhérent comme un autre, sous réserve du respect des statuts et de l’idéologie de la FFMC.
• Michel a conclu en rappelant que son intégration est validée, sans obstacle, et qu’aucune restriction particulière n’est posée.
• Ces éléments constituent une preuve écrite de la validité de l’adhésion.
• La réserve exprimée sur le “manque d’historique” n’est pas une opposition mais une simple observation de forme.
• La position officielle de Michel clôt le débat : Yoann Simon est pleinement membre de la FFMC 30, au même titre que tout autre adhérent.

• En date du 10 juin 2025, le Bureau National de la FFMC, par la voix de son coordinateur Gwen-Aël Lamoureux, a adressé un courriel à Yoann Simon notifiant le refus de son adhésion 2025, accompagné d’une demande de coordonnées bancaires afin de rembourser les 42 € de cotisation. 
• Cette décision, présentée comme conforme à l’article 6 des statuts, a été contestée trois jours plus tard par un courrier argumenté de Yoann Simon, daté du 13 juin 2025.
• Dans sa réponse, celui-ci rappelle que son adhésion avait été régulièrement validée par l’antenne FFMC30, qu’il est adhérent de cette association loi 1901 indépendante, et non du Bureau National. 
• Il souligne que le BN ne dispose d’aucune légitimité juridique ou hiérarchique pour annuler une adhésion émise par une antenne locale, les antennes étant autonomes et seulement affiliées via une cotisation nationale. 
• Yoann Simon dénonce ainsi une ingérence manifeste du Bureau National, contraire aux statuts et à l’esprit fédératif de la FFMC, tout en rappelant le soutien explicite qu’il a reçu du bureau de la FFMC30. 
• Sa lettre développe une critique ferme du fonctionnement centralisé et du manque de transparence du BN, en opposition avec l’engagement de terrain et le travail juridique qu’il mène contre le contrôle technique moto. Ce double échange illustre la contradiction entre, d’une part, une validation claire de l’adhésion par l’antenne locale (Étape 001) et, d’autre part, une tentative d’exclusion unilatérale par le Bureau National 

• En date du 16 juin 2025, le Bureau National de la FFMC, par l’intermédiaire de son coordinateur Gwen-Aël Lamoureux, a confirmé par courriel le refus d’adhésion 2025 de Yoann Simon, en se retranchant une nouvelle fois derrière l’article 6 des statuts. 
• Dès le lendemain, le 17 juin 2025, Yoann a adressé une réponse complémentaire détaillée, contestant la validité juridique d’un tel refus. Il rappelle que la hiérarchie des normes rend inopérant un article statutaire face à la loi de 1901, au Code pénal (articles 225-1 et suivants), à l’article 14 de la CEDH et à la jurisprudence de la Cour de cassation (9 juillet 2015, n°14-20.158).
• Il dénonce une double erreur du BN : confusion de personne morale (BN ≠ antenne FFMC30, seule compétente pour accepter un adhérent) et fondement juridique inexistant de l’exclusion. Yoann insiste sur le caractère discriminatoire et abusif de la décision, réaffirme son soutien actif au sein de la FFMC30 et met en garde contre les risques de responsabilité associative encourus par le BN.
• Ce stade confirme une rupture ouverte : le BN persiste dans le refus malgré le soutien de l’antenne FFMC30. La réponse de Yoann introduit une judiciarisation potentielle (responsabilité associative et discrimination). 
• Cette étape montre un glissement du conflit d’une dimension interne (statuts FFMC) vers une dimension juridique externe (loi, CEDH, jurisprudence). 
• Le BN persiste dans un refus d’adhésion sans justification valable, ce qui expose l’association à des risques juridiques pour discrimination et ingérence dans la vie autonome d’une antenne locale.
• 👉 Biais : asymétrie de discours → BN = minimaliste, Yoann = argumentaire étoffé et public.

• En juin 2025, un nouvel épisode voit l’intervention publique de Francis Diego Delavega, militant proche du Bureau National, venu défendre la position de ce dernier sur les réseaux sociaux en invoquant l’article 6 des statuts de la FFMC qu’il affirme avoir lui-même rédigé en 2014. 
• Selon lui, le BN peut refuser une adhésion sans avoir à motiver sa décision, et le cas de Yoann Simon relèverait donc d’une application « dans les règles ». 
• En réponse, Yoann rappelle avec force le principe de hiérarchie des normes, selon lequel les statuts et règlements internes d’une association ne sauraient en aucun cas primer sur la loi, la jurisprudence et les textes supérieurs (loi de 1901, Code pénal, CEDH). 
• Le papier ne refuse pas l’encre », écrit-il en substance, pour souligner qu’il est toujours possible de rédiger un article statutaire, mais que cela ne le rend pas exécutable lorsqu’il devient discriminatoire ou contraire au droit.
• À travers cette controverse, Yoann affirme sa posture de lanceur d’alerte : il dénonce l’usage d’arguments formels comme outils de censure et appelle à un débat public transparent, condition nécessaire pour restaurer une FFMC forte et fidèle à ses valeurs fondatrices.

• En date du 16 juillet 2025, Vanessa Lebrun, agissant pour la FFMC TN au nom du Bureau National, adresse un courriel à Yoann Simon lui réclamant un RIB ou une adresse postale afin d’effectuer le remboursement de son adhésion 2025 refusée. 
• Le lendemain, le 17 juillet 2025, Yoann répond par un courrier détaillé dans lequel il démontre que cet argument administratif ne tient pas : son RIB est déjà présent dans les bases du BN via le système centralisé « Gaël » et des remboursements antérieurs (frais de trajets, suite à des réunions CDR rennes en 2018 quand Yoann était simple adhérent de la FFMC50) lui ont été versés par ce biais.
• Il souligne qu’un simple remboursement par CB Paypal, utilisé pour l’adhésion, aurait suffi, preuve que le blocage n’est pas technique mais politique. 
• Il refuse de communiquer une adresse postale, invoquant la protection de ses données personnelles garantie par le RGPD, et rappelle qu’il a déjà précisé cette position. 
• Surtout, Yoann met en lumière un point essentiel : le non-reversement des 14 € dus à la FFMC30, créant une anomalie comptable qui pénalise directement son antenne.
• Il y voit une volonté manifeste de neutralisation et dénonce un manque de transparence financière du Bureau National, renvoyant à son article public consacré à cette question. 
• Cette cinquième étape déplace le conflit sur le terrain financier et organisationnel, où l’adhésion refusée devient le symbole d’une gestion opaque et d’une stratégie de mise à l’écart, au détriment même des antennes locales.

• À ce stade, la situation prend une tournure encore plus explicite : le Bureau National de la FFMC, gestionnaire du logiciel centralisé Gaël, a volontairement désactivé l’ensemble des comptes liés à Yoann Simon, qu’il s’agisse de ses adhésions passées à la FFMC50, à la FFMC Paris-Petite-Couronne (PPC) ou à la FFMC30. 
• Cette action unilatérale revient à priver un adhérent de tout accès, alors même que juridiquement et statutairement, seul le bureau de l’antenne locale à laquelle il a cotisé est compétent pour gérer ses membres. 
• Le BN, qui n’est pas l’association auprès de laquelle Yoann a adhéré, n’a donc aucune légitimité légale ou administrative pour bloquer un compte utilisateur. 
• En pratique, cette désactivation empêche toute visibilité de son adhésion dans Gaël et accentue la rupture : la FFMC30, bien qu’ayant validé son adhésion, ne voit plus apparaître son nom et n’a toujours pas reçu le reversement des sommes dues. 
• Le blocage informatique s’ajoute à un silence systématique du Bureau National, qui refuse tout débat contradictoire, choisit la censure sur les réseaux sociaux (exclusion de groupes, suppression de contacts) et ne répond pas aux nombreuses publications publiques pourtant accessibles. 
• Ce passage marque une volonté manifeste d’écarter un adhérent dérangeant, non pas par le dialogue ou la procédure démocratique, mais par des moyens techniques et communicationnels, au détriment du fonctionnement transparent et fédératif que revendique la FFMC.

A savoir : depuis les assises 2025, Gwen-Ael est passé co-coordinateur et c'est Christophe Boulais le coordinateur actuel.