Malgré l’adoption par l’Assemblée nationale, le 17 juin 2025, d’un amendement visant à supprimer les Zones à Faibles Émissions (ZFE) dans le cadre du projet de loi de simplification de la vie économique, rien n’est encore gagné.
Le texte doit passer devant la Commission Mixte Paritaire (CMP), où députés et sénateurs devront s’accorder, puis devant le Conseil constitutionnel, qui pourrait censurer la mesure.

Et surtout, la France reste soumise à la directive européenne 2008/50/CE sur la qualité de l’air : elle n’impose pas directement les ZFE, mais elle contraint les États à réduire la pollution sous peine de contentieux.

En attendant, les ZFE continuent de s’étendre :

• Fin 2024, une douzaine d’agglomérations françaises en avaient déjà instauré.

• Depuis 2025, ce sont 43 territoires (agglomérations de plus de 150 000 habitants) qui sont concernés.

• Dans plusieurs métropoles (Paris, Lyon, Grenoble, Montpellier…), les véhicules Crit’Air 3 et plus sont désormais bannis.

Voilà pourquoi il ne faut pas relâcher la pression.

📬 Maintenir la pression dans le Cotentin

Depuis avril 2023, je mène ce combat dans le Cotentin.

😞 Une pause dans mon combat contre le CT moto

Aujourd’hui, je fais une pause temporaire dans mes travaux d’analyse sur le CT moto.
Pas par lassitude, mais parce que la situation locale me rattrape.
Et elle m’attriste.

Merci à la FFMC50…
👉 pour avoir obtenu un stationnement moto devant la mairie.
Mais un stationnement… payant.

💸 Quand la gratuité devient un tabou administratif

L’arrêté en question ne mentionne aucune gratuité.
Et pour cause :
➡️ La zone est définie comme payante par un ancien arrêté — probablement vieux de 15 à 20 ans, introuvable en version numérique.

Résultat ?
Même si la mairie ou la FFMC voulait rendre le stationnement gratuit, elle ne le peut pas sans modifier l’arrêté d’origine.

🚫 Où est écrit "gratuit" ?

Si c’était vraiment gratuit, alors :

la peinture au sol porterait le mot "Gratuit", non ?

lapiMais il n’y a qu’un pictogramme de moto.
Et rien d’autre.